La baisse de la couverture nuageuse peut entraîner des températures record de la Terre.
Le 20 septembre 2024, paraissait en preprint un article intitulé La contraction des zones de nuages orageux dans le monde est le principal facteur contribuant à l’augmentation de l’absorption de la lumière solaire par la Terre au XXIe siècle. Cette étude montrait que depuis le début du 21e siècle, la quantité de lumière solaire absorbée par la Terre a augmenté à un rythme d’environ 0,45 W/m2 par décennie, principalement en raison d’une diminution de la réflexion de la lumière solaire par les nuages.
Une étude plus récente publiée le 5 décembre 2024 dans la revue Science par une équipe allemande de l’Institut Alfred Wegener (Recent global temperature surge intensified by record-low planetary albedo) corrobore ces résultats : notre planète est devenue moins réfléchissante en raison du déclin de certains types de nuages .

Une année 2023 marquée par une augmentation de la température moyenne mondiale de près de 1,5 degré Celsius
L’année 2023 a été marquée par une augmentation de la température moyenne mondiale de près de 1,5 degré Celsius par rapport au niveau préindustriel
Identifier les causes de cette hausse soudaine s’avère un véritable défi pour les chercheurs. En effet, si la les facteurs anthropiques comme l’accumulation de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, conjugué à des événements naturels comme le phénomène météorologique El Niño ou encore les éruptions volcaniques, peuvent expliquer une grande partie du réchauffement, cela laisse encore un écart d’environ 0,2 degré Celsius, qui n’a jamais été expliqué de manière satisfaisante. « L’écart explicatif de 0,2 degré Celsius pour 2023 est actuellement l’une des questions les plus intensément débattues dans la recherche sur le climat », a déclaré Le Dr Goessling de l’Institut Alfred Wegener Centre Helmholtz pour la recherche polaire et marine (AWI), auteur principal de l’étude.
Il explique : « outre l’influence d’El Niño et le réchauffement à long terme attendu des émissions de gaz à effet de serre d’origine anthropique, plusieurs autres facteurs pourraient avoir contribué aux températures moyennes mondiales étonnamment élevées en 2023 notamment l’augmentation de l’activité solaire, de grandes quantités de vapeur d’eau provenant d’une éruption volcanique ou une diminution des particules d’aérosols dans l’atmosphère. mais la combinaison de tous ces facteurs laisse inexpliqué un réchauffement de 0,2 degré Celsius »
L’étude de l’Institut Alfred Wegener avance une explication possible à la hausse de la température moyenne mondiale : notre planète serait devenue moins réfléchissante parce que certains types de nuages auraient diminué. Afin de combler cette lacune, les modélisateurs climatiques de l’AWI et du Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (ECMWF) ont examiné de plus près les données satellitaires de la NASA, ainsi que les propres données de réanalyse de l’ECMWF, dans lesquelles une gamme de données d’observation est combinée à un modèle météorologique complexe.
Certaines de ces données remontent à 1940, ce qui permet une analyse détaillée de l’évolution du bilan énergétique mondial et de la couverture nuageuse à différentes altitudes.
« Ce qui a attiré notre attention, c’est que, dans les ensembles de données de la NASA et de l’ECMWF, l’année 2023 s’est distinguée comme celle avec l’albédo planétaire le plus faible », explique le co-auteur, le Dr Thomas Rackow de l’ECMWF. L’albédo planétaire décrit le pourcentage de rayonnement solaire entrant qui est réfléchi dans l’espace après toutes les interactions avec l’atmosphère et la surface de la Terre.
« Nous avions déjà observé une légère baisse ces dernières années. Les données indiquent qu’en 2023, l’albédo planétaire pourrait être à son plus bas niveau depuis au moins 1940. » Cela aggraverait le réchauffement climatique et pourrait expliquer les 0,2 degrés Celsius « manquants ».
La question est maintenant de savoir qui a provoqué cette baisse quasi record de l’albédo planétaire.
La diminution des nuages à basse altitude réduit l’albédo de la Terre
L’albédo de la surface de la Terre est en baisse depuis les années 1970, en partie à cause de la diminution des neiges et de la banquise arctique, qui se traduit également par une diminution des zones blanches capables de réfléchir la lumière du soleil. Depuis 2016, cette situation est aggravée par la diminution de la banquise dans l’Antarctique.
« Cependant, notre analyse des ensembles de données montre que le déclin de l’albédo de surface dans les régions polaires ne représente qu’environ 15 % du déclin le plus récent de l’albédo planétaire », explique le Dr Goessling.
L’albédo a également diminué de manière significative dans d’autres régions. Pour calculer les effets potentiels de cette diminution de l’albédo, les chercheurs ont appliqué un modèle de bilan énergétique éprouvé, capable de reproduire la réponse en température de modèles climatiques complexes. Les chercheurs ont ainsi pu déterminer que sans la réduction de l’albédo depuis décembre 2020, la température moyenne en 2023 aurait été d’environ 0,23 degré Celsius plus basse.
Une tendance semble avoir eu un impact significatif sur la réduction de l’albédo planétaire : la diminution des nuages de basse altitude dans les latitudes moyennes de l’hémisphère nord et dans les tropiques. À cet égard, l’Atlantique se distingue particulièrement, car c’est exactement dans cette région que les records de température les plus inhabituels ont été observés en 2023.
« Il est évident que l’est de l’Atlantique Nord, qui est l’un des principaux facteurs de la dernière hausse de la température moyenne mondiale, a été caractérisé par une baisse substantielle des nuages de basse altitude non seulement en 2023, mais aussi, comme presque tout l’Atlantique, au cours des 10 dernières années. » Les données montrent que la couverture nuageuse à basse altitude a diminué, alors qu’elle ne diminue que légèrement, voire pas du tout, à des altitudes modérées et élevées .
Le fait que ce soient principalement les nuages bas et non ceux de plus haute altitude qui sont responsables de la diminution de l’albédo a des conséquences importantes. Les nuages à toutes les altitudes réfléchissent la lumière du soleil, ce qui produit un effet refroidissant. Mais les nuages des couches atmosphériques hautes et froides produisent également un effet réchauffant, car ils retiennent dans l’atmosphère la chaleur émise par la surface.
« En gros, c’est le même effet que les gaz à effet de serre », explique le professeur Goessling. Mais les nuages plus bas n’ont pas le même effet. « S’il y a moins de nuages bas, on perd seulement l’effet de refroidissement, ce qui réchauffe l’atmosphère. »
Mais pourquoi y a-t-il moins de nuages bas ? La diminution des concentrations d’aérosols anthropiques dans l’atmosphère, notamment en raison de réglementations plus strictes sur les carburants marins, y est probablement pour quelque chose.
En tant que noyaux de condensation, les aérosols jouent un rôle essentiel dans la formation des nuages, tout en réfléchissant eux-mêmes la lumière du soleil. De plus, les fluctuations naturelles et les réactions océaniques pourraient avoir contribué à cette évolution. Goessling estime toutefois qu’il est peu probable que ces facteurs suffisent à eux seuls et suggère un troisième mécanisme : le réchauffement climatique lui-même réduit le nombre de nuages bas.
« Si une grande partie de la baisse de l’albédo est effectivement due aux rétroactions entre réchauffement climatique et nuages bas, comme l’indiquent certains modèles climatiques, il faut s’attendre à un réchauffement plutôt intense dans le futur », souligne-t-il.
« Nous pourrions voir le réchauffement climatique mondial à long terme dépasser 1,5 °C plus tôt que prévu à ce jour. Les budgets carbone restants liés aux limites définies dans l’Accord de Paris devraient être réduits en conséquence, et la nécessité de mettre en œuvre des mesures d’adaptation aux effets des futurs phénomènes météorologiques extrêmes deviendrait encore plus urgente. »
Plus d’informations : Helge F. Goessling, La récente hausse de température mondiale a été intensifiée par un albédo planétaire record, Science (2024). DOI : 10.1126/science.adq7280.
Et le CO2 dans tout cela ?
Pourquoi serait-il interdit d’expliquer par l’albédo la totalité du réchauffement de la Terre depuis le début de l’ère industrielle puisque les données certaines et continues sur l’albédo planétaire ne datent que du début de l’emploi des satellites à cet effet, c’est à dire justement depuis le début des années 70 ?
Le prix Nobel John Clauser n’est pas loin de le penser.
Gageons que des scientifiques carboréchauffistes inconditionnels vont s’empresser de nous trouver un lien qui « pourrait suggérer… » que c’est le CO2 qui « serait probablement » le responsable de cette diminution…
@jack
Effectivement le CO2 n’a aucun rôle, ou tout à fait marginal, dans le cycle actuel. Mais il est un excellent point de focalisation médiatique, et un formidable booster d’affaires économiques. Ajouton qu’il est aussi un très bon moyen de culpabiliser les populations et de les maintenir sous une forme d’entreprise comme savent si bien le faire les sectes.
Cette explication de la réduction de l’albedo est pressentie depuis longtemps, mais refusée par les organismes subventionnés comme l’IPCC, donc silence radio. En l’état il est évident que l’explication est là…
https://www.amazon.fr/Climat-peur-changement-climatique-lalarmisme/dp/2855541883
Paradoxe climatique : la baisse mystérieuse de l’évaporation des océans
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et pourtant
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Réchauffement inattendu des océans : que dit la thermodynamique ?
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Mais on arrive quand même à expliquer
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L’augmentation du réchauffement climatique est principalement due à la réduction de l’albédo planétaire
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Les pluies acides résultent essentiellement de la pollution de l’air par le dioxyde de soufre (SO2) produit par l’usage de combustibles fossiles riches en soufre,
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Le dioxyde de carbone est soluble dans l’eau , dans laquelle il forme de manière réversible du H2CO3 (acide carbonique), qui est un acide faible, car son ionisation dans l’eau est incomplète.
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Voilà Jack
CO2+ H2O donne des pluies acides qui nettoie le ciel , supprime l’albédo des nuages et laisse passer le soleil qui réchauffe la Terre
Une explication pour la baisse de l’albédo pourrait être suggérée ainsi.
Avec un lent réchauffement depuis des décennies, lié à une activité solaire supérieure à ce qu’elle était antérieurement depuis le cycle 19 inclus, on a observé une baisse moyenne des vents dans les zones océaniques intertropicales chauffées, d’où une moindre évaporation et donc une moindre formation nuageuse. En parallèle l’échauffement des océans a accéléré en conséquence le dégazage de CO2 observé, dont une faible part anthropique (dixit le GIEC). Mais s’ajoute au phénomène de moindre évaporation une diminution complémentaire de la couverture nuageuse liée à l’activité solaire qui masque les rayons cosmiques alors que ceux-ci favorisent la formation des nuages, et ce depuis la première partie du cycle 25. La combinaison de ces phénomènes a provoqué une baisse globale de l’albédo de la Terre et explique en partie le fort réchauffement récent de 2023/24, un pic, au demeurant, que les modèles existants n’ont pas vu venir, pour la bonne raison qu’ils ne modélisent pas les nombreux facteurs influant sur le climat, scotchés à une approche monofactorielle GEScentrée trop simpliste
J’ai un peu de mal à comprendre la légende sous les 3 figures présentées qui ne me parait pas cohérente ?
Personnellement j’ai l’impression que la diminution globale de la couverture nuageuse produit plutôt :
– Pour les nuages de hautes altitudes, un apport plus grand de rayonnement solaire (courtes longueurs d’ondes) à la fois au sol et au cours de la traversée des couches atmosphériques qui se trouvent en-dessous.
– Pour un ciel sans nuage, une quantité plus grande quantité d’énergie solaire au niveau de la surface terrestre essentiellement.
– Pour les nuages bas, un apport plus grand d’énergie solaire au niveau de la basse atmosphère (en-dessous des nuages bas) et au niveau du sol, mais une rétention moins forte du rayonnement infrarouge terrestre (qui engendrerait donc plutôt un effet thermique inverse, mais qui peut être compenser par la hausse de l’irradiation solaire et donc consécutivement celle de ce même rayonnement infrarouge : à vérifier !)
Si l’on considère un bilan énergétique global, les chiffres que j’ai trouvés dans la littérature font plutôt état, compte tenu de la diminution d’albédo constatée, d’un apport supplémentaire d’énergie solaire (courtes longueurs d’ondes) de l’ordre de 0,7Wm-2 par décade, soit depuis l’an 2000 de l’ordre de 1,75Wm-2. Je n’ai pas trouvé d’analyse concernant la diminution éventuelle du piégeage infrarouge consécutif à la baisse de la couverture des nuages bas.
Il semble aussi que cette baisse de l’albédo terrestre ait déjà été observée depuis les années 1980. Elle semble avoir atteint un pic en 2022-2023.
Bref il faudrait faire un bilan beaucoup plus complet de toutes les conséquences de cette baisse d’albédo due en grande partie à la baisse de la couverture nuageuse. Par contre, en termes énergétique les valeurs semblent du même ordre que celles mises en avant par le GIEC pour expliquer le réchauffement attribué à l’augmentation de la concentration de gaz carbonique d’origine anthropique.
Il y a donc ici une explication alternative possible au changement climatique actuel.
Par ailleurs, l’augmentation des températures océaniques en profondeur trouve dans la baisse de l’albédo et de la hausse consécutive de l’énergie courtes longueurs d’ondes reçue par la surface terrestre, une explication crédible.
Enfin il est étonnant que l’article évoque bien comme cause à la baisse de la couverture nuageuse, une diminution de concentration des aérosols anthropiques mais ne mentionne pas la théorie de Svensmark et l’influence possible des rayonnements cosmiques qui pourrait être diminuée par une forte activité solaire effectivement constatée depuis plusieurs années.
Derniers points, je ne peux m’empêcher en parlant de la couverture nuageuse terrestre, de penser aux observations faites par la sonde Voyager et, je crois, le télescope Hubble, sur l’évolution de la couverture nuageuse de Neptune liée semble-t-il à l’activité solaire.
Je ne peux aussi m’empêcher de m’interroger de savoir comment cette baisse globale de la couverture nuageuse terrestre peut être compatible avec la hausse présumée de la concentration de vapeur d’eau mis actuellement en avant pour expliquer le complément ‘d’effet de serre’ manquant si le gaz carbonique est seul mis en cause.
Bref, beaucoup d’interrogations forts passionnantes qui devraient donner du travail à nos amis climatologues.
Tout le monde fait Science pour comprendre le climat
on est vraiment au debut de notre histoire de la comprehension des mecanismes
RIEN n’est prouvé Physiquement .. c’est ca le DRAME
On ne comprend rien encore au Soleil .. deja au depart .. ni à la vapeur d’eau non plus …
Quand tu penses a ca
Quelle Honte de tirer des conclusions hatives politique
La Honte c’est pour nous surtout du fait d’accepter cela
Car Le principal probleme avec l Anthropocene .. mdr .. Avant tout debat / argument sur le CO2 …
c’est que l’Axiome de depart est opposé a la realité historique .. c’est grossier
les GIECcos definissent le climat de 1850 comme la base en T° de notre interglaciaire … Quel FAKE
1) Alors que le yoyo chaud froid est documenté et recoupé depuis 4000 ans
2) Alors que 1850 signe le debut de la fonte glaciaire du PAG soit la fin de ce cycle froid
le pic de froid etant 1700 avec la Seine qui gelait plus de 2 Mois a Paris
Tout est tracé glacier culture recit carotage
3) 1300 le maximum medieval … 2100 le maximum actuel
Nous sommes au milieu d’un interglaciaire qui a debuté il ya 20kans et va se terminer dans 20Kans
En schematisant le climat suit une ondulation de 800 ans de periode depuis 5000 ans
pic de froid / pic de chaud s’alternant tous les 400 ans
Pour les anthropo-chronophage
Il vous faut prouver que le CO2 a un potentiel physique dans ces interactions … des le depart c’est pas ca
Il faut ensuite prouver quel % d’action il a dans la dynamique actuelle .. forcement qu’une fraction …
Sachant qu’il n’ya pas de normes dans ces minicycles qui ne sont que rebonds sinusoidaux
le PAG etait un cycle plus froid que les precedents … Il serait normal que nous soyons meme plus chaud que les derniers pic chaud du Moyen Age et Romain et Grec .. ce n’est meme pas le cas .. mdr
Sachant que dans 20Kans la Sinusoide calme de notre Interglaciaire va replonger pour 100KAn de glaciation avec – 15° au programme et toute l’humanité qui doit fuir les montagnes et plaines continentales
il y aura des millenaires plutot chaud quand meme dans cette nouvelle phase glaciaires avec de la banquise a Lyon
Pour comprendre notre climat, il faudra en premier déjà comprendre notre etoile, notre chauffage et ses interactions … Tout le reste ce n’est que de la mandoline
2030 / 2050 va etre le couperet
Le Climat sans modele est corrélé a l’activité du soleil,
2030 /2050 sont prevus en minima solaires
Ces cycles de 11 ans et 65 ans rentrent en phase
avec les 20 ans de froid recurents tous les 65 ans durant notre cycle chaud de 400 ans …
1835 / 1855 …. 1900 / 1920 …. 1965 / 1985 … 2030 / 2050
En Cycle et Pic Froid
ces 20 ans deviennent des periodes plus chaudes au milieu de 65 ans de froid et d’ humide
Avec a notre echelle des cycles et dynamiques de 1/3 ans qui se materialise par les 2 courants oceaniques
Nina Fort et Nino faible … en Pic froid
avec Nina faible et Nino Fort … en Pic chaud
Voila le Schema global … on suit la multi activité sinusoidale de notre Soleil
il va faire chaud jusqu’en 2100 … notre pic chaud,
le climat va ressembler à l’actuel en symetrie Gaussiene encore en 2170
ca va s’ecrouler dans les Alpes encore 100 ans de 2050 à 2150
Le pic de froid sera vers 2500 avec peut etre les Glaciers à 1000 m comme en 1850
Voila le schema … la realité est un peu plus chaotique … mais c’est quand meme du papier a musique
La dynamique est exactement celle là .. nous somme reglé depuis 1 millions d’années comme cela
Alternant phase glaiciaire / interglaciaires
et au vu de l ‘amplitude du phenomene
comparé a notre microscopique rechauffement du XXieme siecle
ca en est risible du tabassage cognitif
Sachant que les Alpes ont 5 millions d’années …
le Gondwana 100 Millions d’années
le climat ne peut qu’ etre comparé qu’ a une certaine echelle geologique
avec les memes parametres position Ocean Terres
Notre epoque glaciaire va s’arreter dans 20 a 50Millions d’années pour 300 Millions d’années sans glace meme aux poles
Bref … Merci de nous partager la Science en cours
mais la base de notre histoire climatique est la… indelebile … mdr
et elle demonte les faux axiomes du GIEC, Du WEF, de BLACKROCK et de LA BANQUE derriere
https://www.glaciers-climat.com/gp/mer-de-glace/
http://glaciers-climat.fr/Glaciations_1/Periodes_glaciaires.html
Plusieurs textes signalent l’influence de la suppression du soufre dans le fuel des navires comme cause possible de ce réchauffement….
@Blackrock sucks25 mars 2025 at 15 h 56 min
qui a dit
« » » » »Notre epoque glaciaire va s’arreter dans 20 a 50Millions d’années pour 300 Millions d’années sans glace meme aux poles » » » » » »
Pas évident; elle va peut-être s’arrêter avant ; notre soleil se dilate depuis son origine et va s’étaler de plus en plus sur son système planétaire ; mais peut-être qu’on aura le temps de suivre Elon Musk et s’installer sur Mars
Toutes ces dates ne se veulent pas predictives mais juste tendancielles
Pour marquer la dynamique de ces fluctuations incessantes afin de contre-dire l’axiome premier du GIEC .. « le climat est stable depuis 10K ans » … Nous sommes bien dans une dynamique de chaud naturelle depuis 1850 .. et toute leur propagande s’ecroule
On est a notre 7eme Ere Glaciaire depuis le debut de la Terre
Elles durent durant ce milliard d’année pres de 50 Millions d’années …
et ce tous les 300 Millions d’années … elle a commencé il y a seulement 2 Millions d’années
il peut advenir une pause d’epoque glaciaire dans cette ere glaciaire .. c’est meme prevu non ?
Par contre d’ici 20Kan / 30Kan .. on devrait repartir en Glaciation pour 100KAn
au vu de notre passé le phenomene peut etre amoindri mais pas disparaitre brutalement non ?
pas en 1 cycle .; ca s’estompe sur plusieurs phases … Si l’Homme est encore la … ca va etre la pour de bon un sacré probleme … on sera lors dans l’Anthropocene pour de bon je pense
Dans notre Million d’années
on peut parler de cycle Glaciaire 100Kan / IG30Kan reglés comme du papier a musique … L’activité solaire suffit elle seule a expliquer ce phenomene et amplitude ?
D’autres parametres telluriques ou orbitaux sont demontrés ?
Et au vu de l’amplitude du phenomene …
Nous sommes pres d’un des pic de chaud de l holocene Interglaciaire … Soit la le climat quasi le plus doux sur Terre dans toute notre epoque glaciaire
… le plus froid et le plus souvent durant ce Million d’années c’est plutot -15° partout avec de la glace à Lyon
L’expansion solaire est prevue pour notre dernier ou avant dernier milliardaire non ?
Avant la contraction finale puis l’explosion / dissemination de tous les atomes de matieres du futur systeme solaire … c’est bien cela dans 4 Milliards d’années ?
Sinon … Lisez bien le recit des premiers villageois du PAG
qui sur 50/100 ans en plein PAG font le yoyo au rythme de la langue terminale du glacier…
c’est edifiant sur les va et vient climatique et leur consequences glaciaires entre 100 et 1 années plus tard
@Blackrock sucks27 mars 2025 at 21 h 52 min
« » » » » l’axiome premier du GIEC .. « le climat est stable depuis 10K ans » » » » » » »
Faut nous trouver des liens où on peut lire cela ou alors le climat était stable depuis 9850 ans