De bonnes nouvelles en provenance de la République tchèque

Un groupe d’experts du climat (comportant notamment des géologues), vient d’être créé en République tchèque. Incorporé à la fondation CLINTEL, ce groupe de travail a rédigé une déclaration à l’intention des politiciens et du grand public en République tchèque, mais aussi dans le reste du monde. Cette déclaration s’appuie sur la déclaration de CLINTEL en l’approfondissant par de nouvelles découvertes dans leur domaine.

Le texte de cette déclaration (Des scientifiques tchèques réfutent le Green Deal, ou le roi est nu) peut être téléchargé en cliquant sur ce lien.

Le premier objectif de ce groupe sera d’organiser dès octobre 2024 une conférence scientifique internationale, professionnelle et apolitique, en s’inspirant du succès de la conférence « Basic Science of a Changing Climate: How processes in the Sun, Atmosphere and Ocean affect Weather and Climate », qui s’est tenue à Porto en 2018. Cette conférence pourrait avoir lieu dans les locaux de la Chambre des communes à Prague. Elle sera organisée sous l’égide de CLINTEL, mais le groupe de travail tchèque se fait fort de mobiliser les ressources économiques nécessaires auprès d’entités publiques et privées en République tchèque.

Cette conférence abordera les domaines suivants :

1) L’évolution du climat dans l’histoire géologique ;

2) Évolution du climat dans l’histoire humaine (environ 6000 ans) ;

3) Processus physiques fondamentaux influençant le climat (soleil, impacts, albédo, petit cycle de l’eau, etc.) ;

 4) L’influence de l’humanité sur le climat de la Terre (démythification de la thèse du GIEC et preuve de l’influence marginale de l’humanité).

Le Dr. Pavel Kalenda ( PKalenda@seznam.cz) a été nommé porte-parole de ce groupe.

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50 réflexions au sujet de « De bonnes nouvelles en provenance de la République tchèque »

  1. Belle initiative, mais ce n’est pas la première fois que des scientifiques font un rapport sur le RCA qui est une vaste fumisterie, à destination des puissants de ce monde. Lesquels n’ont aucune envie de stopper la machine de la décarbonisation qu’ils ont mise en toute ! Même quand il y a un coup de froid, comme c’est le cas actuellement en septembre, certaines personnes disent que c’est « justement parce que ça se réchauffe qu’il fait froid ». Le formatage des consciences dans toute sa splendeur…

  2. Bonjour,
    Les scientifiques alarmistes du changement climatique évoquent constamment une liste d’évènements négatifs lorsqu’ils sont interrogés sur un média (fonte des glaciers alpins, montée des océans, réchauffement des océans, pluies torrentielles,…). À les écouter, rien ne va vraiment plus. Ils confortent leur postulat en observant les différents évènements qu’au travers d’un biais de confirmation. Pourrait-on avoir une liste des évènements positifs en cours sur notre terre, afin de leur démontrer que :
    1. Il est facile de faire une démonstration par un argumentaire inversé, preuve de leur biais…
    2. …puis de leur démontrer qu’il ne suffit pas de dérouler une liste d’évènements, mais d’en comprendre les causes?

  3. Une question de la part d’un agnostique. Je n’ai personnellement rien contre l’hypothèse CO2. Par contre, comme chercheur et Popperien, je ne peux tolérer que le débat scientifique soit interdit, surtout sur des questions (et leurs réponses politiques) qui ont des répercussions sur l’humanité entière.
    Une simple question: il est connu que corrélation n’est pas causalité, et que l’augmentation du taux de CO2 dans l’athmosphère réduit le’énergie incidente d’être (r)envoyés dans l’espace. Mais, si je me fais l’avocat du diable, peut-on dire que l’activité humaine, intensive en énergie, a augmenté la quantité d’énergie encapsulée dans l’athmosphère, entrainant une hausse des température des océans, d’où dégazage. Dans ce cas, le CO2 émis n’est pas la cause principale, mais c’est l’activité humaine (production, transport, urbanisation, méchanisation de l’agriculture, etc. ) qui reste la cause principale.Juste une question, pas une déclaration de guerre…

      • Désolé de ne pas avoir le vocabulaire approprié. Je peux substituer par énergie “retenue”? C’est le terme le plus approprié que j’ai pu trouver. J’ai lu dans des articles sachants: “augmentation de l’entropie du système par accumulation d’énergie”, ce qui me semblait fort pompeux et probablement inexact: ce n’est pas parce que la quantité d’éneregie dans un système “presque” fermé augmente que l’entropie doit forcément aumenter. Du moins dans le court terme. PS. Karl Popper n’était pas fasciné par le consensus scientifique; Albert Einstein non plus quand il disait des «100 auteurs contre Einstein» qui le critiquaient:«Pourquoi 100 ? Si j’avais tord, un seul aurait suffit !». Mais la discussion sur les relations entre “théorie, validation, consensus, doute, falsification” est un autre sujet, fort intéressant d’ailleurs puisqu’il a fondé l’Europe post-Renaissance.

    • Les énergies fossiles sont de l’énergie solaire stockée. La combustion, le déstockage de ces énergies fossiles intervient dans l’équilibre thermique instantané de la terre. De 1994 à 2017 ce déstockage représente 12 ZJ (12 x 10 puissance 21 Joules). La fonte des glaces durant cette période a nécessité 9 ZJ. Le déstockage des énergie fossiles suffit à expliquer la fonte des glaces. https://www.essoar.org/doi/10.1002/essoar.10506806.1

  4. Dans les commentaires de l’article intitulé ” Extension du modèle de puits de carbone : la température compte aussi “, je démontre de manière factuelle que Monsieur Cooper est un troll comme son compère Jack.

    Je suis un scientifique sérieux d’après le critère de Monsieur Cooper puisque j’écris ici sous mon nom et tout le monde peut vérifier que j’ai écris de nombreux articles dans des revues à comité de lecture.

    Monsieur Hubert Escaith écrit aussi sous son nom et c’est manifestement un scientifique sérieux. Je partage son commentaire et je confirme le fait que plusieurs articles ont démontré qu’il y avait une bonne corrélation entre les variations de la température et du taux de CO2 dans l’atmosphère, mais l’augmentation du taux de CO2 est toujours en retard sur celle de la température. Ce résultat est confirmé dans l’article cité plus haut.

    Je reprends à mon compte la phrase de Monsieur Escaith : ” Dans ce cas, le CO2 émis n’est pas la cause principale, mais c’est l’activité humaine (production, transport, urbanisation, mécanisation de l’agriculture, etc. ) qui reste la cause principale. “, et j’ajoute qu’il peut aussi y avoir des causes astronomiques et/ou dues à la déplétion d’ozone.

    Mais évidemment, ces réflexions scientifiques contrarient beaucoup les scientifiques du GIEC.

    Paul Pettré

    • Monsieur PETTRE,
      Vous m’offensez en me traitant de “troll” !!!
      Je vous met au défi de trouver un seul de mes commentaires, depuis des années que je fais part ici, fort modestement, de mes points de vue, qui aurait été destiné à pourrir le site des climato-réalistes.
      Ou bien alors peut-être voyez vous des trolls partout comme d’autres voient des fachos dans leurs placards, sous leur lit.
      J’attend vos excuses.

    • Et vous vous faites quoi ici si ce n’est pas indiscret, à supposer que vous êtes quelqu’un de sérieux, scientifique ou pas.
      C’est quoi exactement l’intérêt de votre commentaire du 14 septembre 2024 at 22 h 34 min ?

  5. Bonjour à tous,
    Au Pr Cooper
    C est un peu facile de se planquer derrière des pseudo. Vous avez le droit d’avoir vos positions mais il faut savoir les assumer ouvertement. Je pense qu’en fait vous n’en avez pas le courage et que votre comportement est lâche. Je suis un scientifique depuis 40 ans et je n ai jamais vu quelqu’un qui se revendique l être et qui se planque ou alors taisez vous sur ces sujets.
    Je pense aussi que le modérateur ne devrait pas accepter l’anonymat, dans n’importe quel forum scientifique, pas uniquement sur internet, la personne qui intervient sur le sujet scientifique se nomme et précise où elle travaille.

    • « C est un peu facile de se planquer derrière des pseudo. » : c’est que voyez-vous, le Pr Cooper ne tient pas à ce que sa famille, son entourage personnel et professionnel prennent connaissance des saloperies pornographiques, sexistes et antisémites qu’il répand un peu partout. Sans anonymat, il n’existe plus.

      Je partage votre avis, la modération de ce site ne devrait publier que ceux qui acceptent de s’identifier. Si l’anonymat n’existe pas dans les revues à comités de lecture c’est précisément pour éviter les Cooper, Marie-Laure, Brionne, Finzi & cie.

  6. M Le Professeur Cooper,
    pouvez-vous citer un seul article scientifique publié dans une revue à comité de lecture…. un seul article qui établit clairement la relation chiffrée entre élévation du taux de CO2 et élévation de la température de l’atmosphère.
    Je ne demande ni un “consensus”, ni l’expression d’une “conviction”, juste un article scientifique.
    S’il existe, son contenu m’intéresse.
    Bien cordialement.

  7. Au Pr Cooper : on parle de consensus, de débats, et je suis d’accord pour que chacun expose son point de vue. Mais il y a un problème quand il y a uniquement les partisans du RCA qui sont invités par les médias. Les scientifiques qui critiquent les théories du Giec ne sont pas les bienvenus. Je me rappelle d’un professeur qui devait faire une conférence dans un lycée, où il émettait des doutes sur le CO2 qui réchauffe, et qui avait été évincé. Où est la liberté de parole ? Si les médias ne veulent pas inviter les climato-sceptiques, c’est bien parce qu’il y a une peur que ceux-ci révèlent des choses qui mettent à mal la machine de la décarbonisation. Bref, ce n’est que de la politique.

    • Est ce que la liberté de parole c’est la liberté de dire n’importe quoi ? Personnellement je trouve curieux que parmi ceux qui critiquent il n’y a quasiment jamais de spécialistes du climat. Des fois c’est des spécialistes de la physique des matériaux, ou d’autres domaines. Mais jamais vraiment des spécialiste de la question.
      De plus curieusement pour des scientifiques, les critiques se font via des blogs, des chaînes YT, les RS. Jamais des articles de recherche publiés dans des revues à comité de lecture. Bien sûr c’est toujours facile d’accuser une hypothétique doxa qui vous empêcherait de publier que de se remettre soi même en cause.

      • Regardez cette vidéo de Marcel Leroux qui, lui, était un spécialiste du climat.
        https://www.youtube.com/watch?v=urcYfQ-5qb4
        Et on en reparlera après.
        Quant aux scientifiques du Giec, il y a peu de connaisseurs, juste des opportunistes.
        Je suis journaliste, j’avais interviewé Jacques Duran (décédé), du CNRS, qui m’avait dit que ceux qui contestent la théorie du RCA ont leur crédit coupé. Les honnêtes démissionnaient.
        Tout est politique.

  8. Le professeur Sheldon Cooper a écrit plus haut : “Faudrait déjà avoir des fais [SIC] indiscutables pour remettre en cause les résultats de milliers d’articles de recherche écrits pas des professionnels du climat.”

    Trois faits bien connus :

    1. Il n’y a pas de calcul thermodynamique de l’effet de serre. Voir Manabe et Wetherald 1967 dont l’astuce arbitraire (contrainte sur le gradient thermique) sert toujours de fondement à la modélisation.

    2. Le comportement des glaciers alpins, suivi de près depuis la première moitié du XXème siècle, est incompatible avec la prétendue évolution exceptionnelle des températures depuis les années 1970. La fonte est similaire autour de 1940 et de 2000, gains de masse dans les années 1970, 1980.

    3. Aucune variable climatique documentée ne montre un comportement exceptionnelle au XXème siècle, aucune n’est cohérente avec les prétendus indices de température des prétendus professionnels du climat.

    Il n’y a donc pas de théorie scientifique quantitative de l’effet de serre et les observations démentent le caractère exceptionnel du réchauffement récent.

    • 1- La modélisation est toujours valable.
      2- Pour les glaciers je ne sais pas. Mais le suivi des températures moyennes de 1850 à 2020 montrent un incontestable réchauffement.
      3- Comment expliquer alors tous les articles de recherche qui établissent un réchauffement ?
      L’effet de serre est parfaitement documentée. Et les données montrent qu’il y a réchauffement. Je sais pas si on peu le qualifier d’exceptionnel.

  9. J’évoquais les médias qui freinent toute action de ceux qui doutent du RCA par peur de la vérité.
    Il est amusant de comparer ces deux choses.
    D’un côté, on a cette étude totalement loufoque :
    https://actu.orange.fr/france/climat-la-france-cherche-a-resoudre-le-amp-quot-paradoxe-de-la-vache-qui-broute-amp-quot-CNT000002f3lvw.html
    De l’autre, on a ce gars qui s’envoie en l’air avec ses millions.
    https://actu.fr/societe/qui-est-sylvian-chiron-le-ssvoyard-qui-a-voyage-dans-l-espace-ce-week-end_61092856.html
    On va critiquer les bovins, mais on ne dit rien sur le tourisme spatial.
    Pourquoi ? Parce que tout est économique. Si les politicards veulent vraiment sauver le monde, qu’ils arrêtent déjà l’hypocrisie.

  10. Pour info, interview de Steven Koonin :
    https://www.youtube.com/watch?v=FYBtG3CNgpM&t=7s

    Ce que le site WUWT en retire (traduction automatique DeepL) :

    Le terme « négationniste du climat » est offensant et trompeur, car les sceptiques comme Steven Koonin fondent leurs arguments sur des preuves scientifiques.

    L’expérience acquise dans le secteur de l’énergie peut fournir des indications précieuses sur la manière de modifier efficacement le système énergétique.

    Pour les jeunes scientifiques, le fait de s’opposer au discours sur le climat peut représenter un risque pour leur carrière en raison des difficultés de financement et de publication.

    Selon M. Koonin, la désinformation dans les médias est due au fait que les journalistes ne creusent pas plus loin et que les scientifiques ne corrigent pas les fausses représentations.

    La prétention de l’ONU à « détenir la science » et sa collaboration avec Google pour contrôler les résultats de recherche prouvent la partialité et la censure.

    Le documentaire « Climate the Movie » a fait l’objet de tentatives d’annulation, mais a suscité une grande attention et le soutien des téléspectateurs. Il a été bien accueilli et a suscité une discussion ouverte sur le changement climatique, contrairement à des plateformes telles que Facebook qui le qualifient de désinformation.

    La dynamique de financement de la recherche sur le climat est discutée, avec l’observation que l’ajout d’un discours sur le climat à un projet peut le qualifier pour un financement lié au climat. Cela soulève des questions quant à l’intégrité de la recherche et à sa partialité.

    La géo-ingénierie, telle que l’injection d’aérosols dans la stratosphère et l’ensemencement des nuages, est un sujet d’intérêt et de débat. Bien qu’il soit technologiquement possible d’abaisser la température de surface du globe, les effets secondaires involontaires et la viabilité à long terme de ces interventions suscitent des inquiétudes.

    – Il est nécessaire d’adopter une approche « équipe rouge, équipe bleue » dans le domaine de la science du climat afin d’encourager une discussion scientifique ouverte et rigoureuse et de remettre en question le consensus. Toutefois, cette approche n’a pas la faveur de l’administration Biden.

    – Maintenir l’intégrité et la vérité face à la corruption est un défi, mais il est essentiel que les scientifiques exposent les faits et laissent les gens décider par eux-mêmes.

  11. Monsieur Cooper,
    Je vous recommande de lire l’article intitulé : The phase relation between atmospheric carbon dioxide and global temperature (DOI: 10.1016/j.gloplacha.2012.08.008) à l’adresse suivante :
    https://www.researchgate.net/publication/257343053_The_phase_relation_between_atmospheric_carbon_dioxide_and_global_temperature
    La conclusion de cet article est très simple :
    ” Il existe une relation de phase évidente entre les changements du taux de CO2 atmosphérique et les différents relevés de température globale, qu’ils soient de la température de surface de la mer, de la température de l’air de surface ou de la température de la troposphère inférieure.
    Les changements de la quantité de CO2 atmosphérique sont toujours en retard par rapport aux changements correspondants de la température. “.

    Par conséquent, il est totalement inutile d’invoquer un prétendu effet de serre pour expliquer le réchauffement climatique qui a d’autres causes possibles.

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